ATHLÈTE DU MOIS DE DÉCEMBRE : REILY PROVOST

Une année mémorable pour Reily Provost

Partout où elle passe, l’Abitibienne Reily Provost ne cesse d’impressionner. Ses performances ne sont d’ailleurs pas passées inaperçues dans la dernière année et les portes des plus grandes compétitions présentées en sol canadien se sont ouvertes devant elle. Portrait de notre athlète All Tides du mois de décembre, qui saisit le meilleur de chaque chance qui s’offre à elle.

De ses propres dires, la nageuse de Val-d’Or a toujours eu « un certain talent » à la piscine, où elle s’adonne à son sport favori depuis l’âge de 5 ans. Ce n’est toutefois qu’en mai dernier, plus précisément à la Coupe du Québec présentée au Complexe sportif Claude Robillard, qu’elle a commencé à réaliser qu’elle pouvait se retrouver au-dessus de la mêlée.

« Je pense que c’est là que le déclic s’est fait. J’ai réussi le tour du chapeau en gagnant les épreuves de 50, 100 et 200 mètres au dos chez les 15-18 ans. Mes temps étaient excellents et c’était la première fois que j’arrivais à faire ça au niveau provincial », a raconté la nageuse en entrevue.

Motivée par cette prestation, Provost ne s’est pas arrêtée là. Elle a répété son exploit à peine quelques semaines plus tard, cette fois au Complexe aquatique du Parc Jean-Drapeau, dans le cadre des Championnats québécois ARENA, avec trois triomphes au dos chez les 18 ans et plus.

Puis, à la fin juillet, elle a été invitée aux Championnats canadiens disputés au Parc Olympique de Montréal. Si ses résultats obtenus l’ont laissée sur son appétit sur le coup, ils lui auront tout de même permis d’obtenir un coup de téléphone à la fois stimulant et invraisemblable. Au bout du fil, on l’invitait à participer à la Coupe du monde de natation de Toronto, au Complexe sportif panaméricain.

« Au début, je n’y croyais même pas ! Quand j’ai compris que c’était vrai, j’étais très excitée, mais aussi assez nerveuse. Je réalisais que tous mes efforts étaient récompensés, mais aussi que j’allais me mesurer à des Olympiennes et des filles de grand talent », a-t-elle confié au sujet du plus grand fait d’armes de sa jeune carrière.

« J’ai fait des temps corrects pour un début de saison, mais c’était une expérience incroyable, a poursuivi celle qui a amélioré sa marque personnelle au 50 m dos avec un chrono de 29,19 s. J’ai nagé aux côtés des meilleures athlètes au monde, je n’en revenais pas. J’avais des étoiles dans les yeux pendant toute la compétition et j’ai pu prendre beaucoup d’expérience. »

Son année « complètement folle » s’est finalement conclue au même endroit, à l’occasion des Internationaux juniors de l’Ontario 2022, un événement rassemblant des athlètes d’un peu partout sur le globe, du 16 au 18 décembre dernier. Provost, qui représentait le Québec en compagnie de 13 autres athlètes, a récolté son meilleur résultat au 50 m dos en se classant 10e de la finale avec un temps de 29,28 s.

« Honnêtement, je n’étais pas trop sûre à quoi m’attendre, mais je suis fière de moi ! Je n’ai pas eu des résultats exceptionnels, ce qui ne m’a pas empêchée d’avoir beaucoup de plaisir. On apprend de nos erreurs et on va continuer de s’améliorer », a analysé la membre du Club aquatique régional de l’Abitibi-Témiscamingue (CARAT), qui a pu vivre cette nouvelle expérience avec son entraineure de longue date, Dany Delisle.

« J’étais super heureuse de vivre ça avec elle ! On est ensemble depuis que je suis en cinquième année du primaire et on a beaucoup appris pendant la fin de semaine. On a reçu beaucoup de conseils des différents entraineurs et athlètes. C’est toujours bon d’avoir d’autres perceptions, ça ajoute à nos bagages et on était bien contentes ! »

Un processus d’apprentissage

Âgée de 18 ans, Reily Provost sera la première à le dire : les dernières années ont passé à vive allure et les changements ont été nombreux. Si elle concède que le tout a parfois eu pour effet d’augmenter son niveau de stress, elle est fière de la manière dont elle a répondu à chaque nouveau défi.

Elle a d’abord tiré profit de la pause forcée en raison de la pandémie pour augmenter ses capacités physiques à l’extérieur de la piscine, avant de déménager à l’autre extrémité de la route 117, à Rouyn-Noranda, afin d’y poursuivre ses études collégiales en Techniques policières.

Selon Dany Delisle, sa ténacité et ses plus récentes participations à des compétitions d’envergure sont signe que son cheminement suit son cours dans la bonne direction.

« Ç’a toujours été une bonne nageuse. Elle a une grande force de caractère et est très persévérante. On avait plus de misère durant la pandémie à savoir où elle se situait, mais au retour, elle a eu une belle ascension. On n’a pas à craindre avec Riley ! Elle va toujours s’arranger pour nager vite et ne pas détonner. Elle ne veut pas juste être présente à titre de participante », a-t-elle mentionné à propos de sa protégée.

Le travail est cependant loin d’être terminé pour la spécialiste du dos. Pour accéder au niveau supérieur, elle devra se faire confiance davantage et, surtout, laisser parler son talent, comme lui rappelle souvent sa mère.

« Elle me dit souvent que c’est une course comme les autres, que je mérite ma place et de ne pas m’en faire parce que tout se passe dans l’eau. Je suis plus forte physiquement et j’ai plus de confiance qu’avant, mais ça reste à travailler », a-t-elle avoué.

Pas question de s’en faire pour autant et elle souhaite poursuivre sa progression poursuit une journée à la fois, en jumelant famille, études et natation.

« Je n’aime pas penser trop loin, mais c’est sûr que je vais aller à l’université après ma technique pour continuer de nager. Rendu là, s’il y a des opportunités, pour aller plus loin ou pour viser les Jeux olympiques, c’est sûr que je vais foncer », a-t-elle conclu.

PERSONNALITÉ DU MOIS DE DÉCEMBRE : DANY DELISLE

Une expérience plaisante et formatrice pour Dany Delisle

Ce n’est pas tous les jours qu’on a la chance de représenter le Québec à une compétition internationale. L’entraineure Dany Delisle, du Club aquatique régional de l’Abitibi-Témiscamingue (CARAT), en a donc profité au maximum aux Internationaux juniors de l’Ontario.

Celle qui entraine des nageuses et des nageurs de l’Abitibi-Témiscamingue depuis une trentaine d’années a pris part à l’événement présenté du 16 au 18 décembre, à Toronto. Elle accompagnait du même coup Reily Provost, jeune nageuse qu’elle dirige depuis que celle-ci est âgée de 10 ans.

« Ç’a été génial ! J’ai beaucoup appris, ça nous offre une autre vision des choses de pouvoir côtoyer tous ces gens. J’ai bien aimé conseiller différents athlètes pour qu’ils progressent et fassent de bonnes performances durant la fin de semaine », a partagé Dany Delisle, personnalité All Tides du mois de décembre.

Il s’agissait de sa première participation à un événement international. La sélection au sein de l’équipe du Québec était déjà une réussite pour celle qui est également enseignante en éducation physique et qui est en charge du programme Sport-études depuis maintenant quatre ans.

« Il y a beaucoup de fierté et c’est une belle reconnaissance ! C’est le fun quand des entraineurs d’un peu partout au Québec peuvent ramener cette expérience dans leur coin », a-t-elle souligné.

D’ailleurs, l’aventure vécue à Toronto bénéficiera à toute la région de l’Abitibi-Témiscamingue, aux dires de Dany Delisle, qui entraîne 28 nageuses et nageurs semaine après semaine. À Toronto, elle a aimé échanger avec le reste du personnel et voir à l’œuvre des athlètes très talentueux, en plus de contribuer à leur succès.

« Ça nous monte un petit réseau afin d’aller chercher des idées ailleurs et pouvoir consulter ces gens-là plus tard. Nous avions tous une vision différente, une approche différente. Les jeunes nous ont justement dit qu’ils ont aimé avoir des commentaires d’un peu partout, d’échanger avec les entraineurs et recevoir de nouveaux trucs », a souligné Dany Delisle, qui se décrit comme une entraineure structurée, munie d’une belle assurance et d’une grande force de caractère.

Parmi tous les apprentissages acquis au cours de la fin de semaine, elle donne notamment en exemple les bienfaits des tests de lactate, utilisés pour bonifier la préparation et la période de repos en compétition, qui varient selon l’athlète et ses besoins.

Si une expérience telle que les Internationaux juniors de l’Ontario se présente à nouveau, Dany Delisle n’hésitera pas à la revivre.

« C’est à refaire ! Il y a trop de belles choses qui surviennent, de belles discussions qui ont lieu pendant une telle fin de semaine ! » a-t-elle conclu.

RETOUR SUR LE ONTARIO JUNIOR INTERNATIONAL

Retour sur le Ontario Junior International

Notre Équipe du Québec en natation générique était à Toronto du 16 au 18 décembre dernier afin de prendre part au Ontario Junior International !

Malgré un virus qui a affaibli plusieurs de nos athlètes, le groupe a été résilient et les nageurs et nageuses ont donné leur 100% du début à la fin.

Parmi les athlètes s’étant démarqués, il faut tout d’abord mentionner l’exploit de Lydia Kilger (PCSC) qui a brisé le record provincial senior en petit bassin au 1500m libre grâce à un temps de 16:21.45.

Les quatre nageurs de CAMO ayant pris part au relais 4x200m libre, Hocine Feddag, Antoine Sauvé, Victor Dagenais et de Loic Courville Fortin ont eux aussi inscrit leurs noms au livre des records du Québec en établissant une nouvelle marque provinciale, 7:15.50.

Il faut mentionner les excellentes performances de Corinne Vézina (UL) qui a été dominante lors des épreuves de brasse, remportant l’argent au 100m ainsi que le bronze au 50m.

Au-delà des performances, les athlètes ont démontré une très belle cohésion, un niveau de professionnalisme élevé ainsi qu’un très bel esprit sportif tout au long du week-end. Nous les félicitons et leur souhaitons beaucoup de succès pour le reste de la saison.

Nous tenons également à remercier l’ensemble de l’équipe de soutien qui était sur place à Toronto et qui a effectué de l’excellent travail, s’assurant d’offrir les meilleures conditions possibles aux athlètes tout au long de la compétition. Merci pour tout !

RETOUR SUR LES MONDIAUX FINA 2022

RETOUR SUR LES CHAMPIONNATS DU MONDE DE NATATION FINA 2022

Katerine Savard, Mary-Sophie Harvey et Greg Arkhurst peuvent rentrer au Québec avec le sentiment du devoir accompli après avoir fièrement représenté le Québec à Melbourne dans le cadre des Championnats du monde de natation en petit bassin.

Le 18 décembre dernier, lors de la dernière journée des Mondiaux, Katerine Savard a terminé au huitième rang de la finale du 100 m papillon. La Québécoise a profité de cette occasion pour vivre le moment présent et elle est heureuse du dénouement.

L’athlète de 29 ans a complété la distance en 56,87 s, à 2,82 secondes de la gagnante l’Ontarienne Margaret Mac Neil, qui a enregistré un record du monde.

« Ça faisait longtemps que je n’avais pas fait une finale individuelle aux Championnats du monde, donc juste de me retrouver là, ça me rendait vraiment contente. J’ai voulu apprécier le moment le plus possible étant donné que je ne sais pas combien de finales il me reste (d’ici la fin de ma carrière). Je suis fière d’être encore à ce niveau après autant d’années », a indiqué Savard.

Lors des qualifications disputées vendredi, Savard avait pris le deuxième rang de sa vague, derrière Mac Neil. Samedi, en demi-finales, elle s’est classée huitième pour obtenir son billet pour la finale.

Au relais 4 x 100 m quatre nages, les Canadiennes sont montées sur la troisième marche du podium (+1,87 seconde). Le quatuor composé d’Ingrid Wilm, Sydney Pickrem, Margaret Mac Neil et Taylor Ruck a seulement été devancé par les Américaines et les Australiennes (+0,57 seconde).

Grâce à sa participation au relais en qualification, Katerine Savard a mis la main sur sa troisième médaille aux mondiaux de Melbourne après celle de bronze au 4 x 100 m libre et celle d’argent au 4 x 200 m libre.

Avec trois médailles et des records personnels, Savard s’est dite extrêmement satisfaite de son passage en Australie, elle qui avait fait le voyage un peu plus tôt pour participer à plusieurs entraînements préparatoires.

« C’était vraiment bien aux Championnats du monde ! Il y a certaines choses à améliorer, évidemment, mais je suis heureuse. J’ai passé un mois à m’entraîner ici pour apprendre de nouvelles choses que je pourrai transposer aux compétitions en grand bassin », a-t-elle conclut.

Elle aussi médaillée aux relais 4 x 100 m libre et 4 x 200 m libre, Mary-Sophie Harvey a également participé à deux compétitions individuelles à Melbourne.

La Trifluvienne a terminé au neuvième rang du 200 m quatre nages, à seulement 16 centièmes de secondes d’une place en finale. Harvey a finalement pu goûter à une finale individuelle au 100 m quatre nages où elle s’est classée huitième avec un temps de 59,11 s.

« Ce sont mes premiers Championnats du monde en petit bassin, j’ai remporté deux médailles en deux jours pour commencer la compétition et j’ai réussi à atteindre une finale individuelle. Ça faisait longtemps que je voulais me rendre aux mondiaux en petit bassin et je suis vraiment satisfaite de mon expérience. L’ambiance au sein de l’équipe est vraiment agréable et nous faisons vraiment bien », a mentionné Mary-Sophie Harvey.

 Rédaction : Sportcom

RETOUR SUR LE KEN DEMCHUK INTERNATIONAL INVITATIONAL 2022

Retour sur le Ken Demchuk International Invitational 2022

Notre Équipe du Québec en paranatation était à Vancouver afin de participer au Ken Demchuk International Invitational du 16 au 18 décembre dernier et les athlètes ont offert de splendides performances tout au long de la fin de semaine.

Du début à la fin de la compétition, les athlètes du Québec ont su se démarquer et performer à la hauteur de leur talent tant du côté féminin que masculin. Leurs valises étaient très certainement plus pesantes à leur retour au Québec vu le nombre de médailles remportées.

Deux coéquipiers du club des Loutres de Granby, Tyson Jacob (LLOU) et Antoine Saint-Germain (LLOU), en ont même profité pour abaisser trois marques nationales. Tyson a tout d’abord brisé le record canadien au 200m papillon S5 grâce à son temps de 5:34.30. Il a remis ça dès le lendemain en obtenant un temps de 41.60 au 50m libre S5, battant ainsi un record datant de 2005. Antoine a pour sa part battu le record canadien au 200m dos par plus de huit secondes en arrêtant le chrono à 3:13.72, un record qui datait de 1998 !

Au-delà des performances sportives, un très bel esprit d’équipe et de camaraderie s’est installé au sein de l’équipe au cours du week-end et l’énergie entre les athlètes était très positive. L’équipe a également eu la chance de recevoir la visite de Wayne Lomas, directeur associé de la haute performance et entraineur national de paranatation chez Natation Canada. Wayne est venu parler à nos athlètes et les féliciter pour tous leurs efforts et leur investissement dans leur sport.

Nos athlètes ont même pu visionner la finale de la Coupe du monde de soccer tous ensemble en bordure de la piscine après un entrainement !

Nous tenons à féliciter Anne-Frédérique BRISSON (PCSC), Mathilde FALARDEAU (CNQ), Alisson GOBEIL (CNJA), Miori HÉNAULT (CASE), Lysandre LEPAGE (CASE), Marian Catalin BARBU (CASE), Marian Catalin BARBU (CASE), Étienne BOUTIN-CÔTÉ (CNQ), Tyson JACOB (LLOU), Lucas LANDRY (CNJO), Gabriel MARTEL (CALAC) et Antoine ST-GERMAIN (LLOU) pour leurs performances et pour leur excellent esprit sportif lors de leur séjour à Vancouver.

Nous tenons également à remercier l’équipe de soutien qui était composée de Bruno BENCENY (CASE), Nadine ROLLAND (LLOU), Johan RIVALLAIN (CNJA), Catherine MARCOTTE (FNQ) et Joy FANARA (FNQ). Votre implication est essentielle au développement de la paranatation québécoise et nous vous en remercions grandement.

Pour consulter les résultats finaux de la compétition, cliquez ici.

Pour en savoir plus sur tous les records canadiens battus au cours de la compétition, cliquez ici.

JONATHAN BLOUIN DIRIGERA L’ÉQUIPE DU QUÉBEC AUX JEUX DU CANADA DE 2025

Jonathan Blouin dirigera l’équipe du Québec aux Jeux du Canada de 2025

Jonathan Blouin a officiellement été nommé entraineur-chef de l’équipe du Québec de natation qui sera des Jeux du Canada de 2025 prévus à Saint-Jean, à Terre-Neuve-et-Labrador. Le pilote a mentionné avoir été emballé lorsqu’il a appris que sa candidature avait été retenue.

« C’est un beau défi et je travaillerai avec Nicolas Zazzeri à la direction technique à la FNQ pour monter un plan de trois ans qui va nous amener à l’événement », a reconnu M. Blouin, qui est à la tête du club Samak, sur la Rive-Sud de Montréal.

Il avait fait partie du personnel d’entraineurs aux Jeux du Canada de Winnipeg en 2017, alors que l’équipe était dirigée par Michel Bérubé. Et en 2005, c’est à titre d’athlète que Jonathan Blouin avait participé aux Jeux du Canada.

En ayant vécu cette compétition des deux côtés de la clôture, il était donc le candidat parfait pour mener la trentaine de nageurs et nageuses qui représenteront la province à Saint-Jean dans un peu plus de trois ans.

« (Les Jeux du Canada), c’est une occasion vraiment intéressante pour les jeunes qui apprennent et c’est un tremplin pour les événements internationaux. Il y a un village, on mange à la cafétéria et c’est un événement qui est multisport comme les Jeux olympiques ou les Jeux du Commonwealth, a-t-il fait remarquer. J’ai bien apprécié mon expérience en 2017. […] Je vais assurément me servir de mes expériences d’athlète et d’entraineur pour transmettre toutes mes connaissances et mon expérience à la relève québécoise. »

Le principal défi de Jonathan Blouin sera de commencer à cibler de jeunes athlètes de 12-13 ans qui seront admissibles à faire partie de l’équipe. Un défi d’autant plus grand, car ils sont tous à des niveaux de maturité physique différents à trois ans des Jeux.

« Il faut surveiller une grande portion de cette relève-là, car ceux qui sont les meilleurs aujourd’hui ne seront pas nécessairement les meilleurs dans trois ans. Il faudra mettre en plus une structure pour nous permettre d’identifier année après année les athlètes potentiels et créer des événements qui vont les motiver à travailler vers cette direction », a-t-il conclu.

L’embauche de l’entraineur-chef pour les Jeux du Canada 2025 s’inscrit dans une stratégie globale de détection et d’accompagnement de la relève québécoise. En débutant la préparation 3 ans avant les Jeux du Canada, la FNQ se donne les moyens de multiplier les événements d’Équipe du Québec, et par conséquent de faire bénéficier de ces opportunités de développement à un plus grand nombre d’athlètes et d’entraineur(e)s.