Programmation compétitive CNMN 2019-2020

Publicité payée par le club de natation Montréal-Nord

 

Le Club de Natation de Montréal-Nord est fier de vous inviter à ses compétitions 2019-2020 en publiant son calendrier annuel auprès de la FNQ.

Nouveautés ! Nos compétitions de novembre 2019 et de janvier 2020, se dérouleront au Complexe aquatique de St-Laurent (8 couloirs) et le Grand Prix de Montréal U12 ans se déplace en mai au Complexe Sportif Claude Robillard.

Réservations : equipecnmn@gmail.com

Les détails complets suivront sur le site de Natation Canada, lorsque les compétitions auront été sanctionnées.

L’intimidation : un problème que les jeunes ne peuvent pas toujours résoudre eux-mêmes

Saviez-vous que, dans la plupart des cas, une intervention de quelques minutes suffit pour faire cesser l’intimidation?  Particulièrement si l’adulte agit rapidement et chaque fois qu’il y a un incident.

Certains gestes d’intimidation physique, psychologique et sociale peuvent être posés dès l’âge de 4 ans et d’autres formes d’intimidation peuvent apparaître durant l’adolescence. Par exemple, le harcèlement sexuel et l’agression dans les fréquentations amoureuses commencent habituellement au début du secondaire.

L’intimidation est une relation de pouvoir difficile à changer sans l’intervention d’un adulte.

Si un enfant vous demande de l’aide pour résoudre un problème d’intimidation, qu’il en soit victime ou témoin, il a peut-être besoin de paroles de réconfort et de conseils pratiques. Utilisez votre jugement en adaptant vos conseils aux circonstances et demandez-lui le plus de précisions possible.

Si vous êtes témoin d’un incident d’intimidation, parlez avec les jeunes qui sont agressifs, faites-leur comprendre le tort qu’ils causent et demandez-leur de reconnaître leurs torts devant les jeunes qui ont souffert de leur comportement. Cela permet généralement de rompre le cycle.

Si un jeune vous informe que quelqu’un est victime d’intimidation, écoutez et prenez ses affirmations au sérieux même si l’incident semble insignifiant, par exemple, s’il s’agit d’injures. Généralement, les jeunes ne décident d’en parler aux adultes qu’en dernier ressort.

Parents, tuteurs et adultes responsables d’enfants et d’adolescents, vous trouverez des conseils sur comment intervenir chez les victimes et témoins d’intimidation, de 4 à 11 ans et de 12 à 17 ans, en consultant la page Web Intimidation [de l’Agence de la santé publique du Canada].

Source : Direction des communications et des affaires publiques. Santé Canada / Agence de la santé publique du Canada – région du Québec

Les paranageurs canadiens prêts à conquérir le monde à Londres

La longue attente est terminée. L’équipe canadienne de paranatation est enfin prête à effectuer son retour aux championnats mondiaux cette semaine à Londres, marquant ainsi la première présence du programme en quatre ans à l’événement biennal.

 

Les Championnats du monde de paranatation 2019 se mettent en branle [aujourd’hui] et se dérouleront jusqu’au 15 septembre au London Aquatics Centre, l’un des principaux sites des Jeux olympiques et paralympiques de 2012.

 

La webdiffusion en direct de la compétition, qui constituera la première occasion de qualification pour Tokyo 2020, sera disponible sur les plateformes Facebook Live du Comité paralympique canadien et de Natation Canada.

 

Le Canada [est] représenté dans la capitale britannique par un solide contingent de 18 athlètes, dont 15 faisaient partie de la formation qui a raté l’occasion de participer aux mondiaux de 2017 à Mexico, lorsque les championnats ont été reportés après que le pays eut été frappé par un séisme dévastateur.

 

« L’équipe est emballée par son arrivée à Londres », a déclaré Wayne Lomas, directeur associé de la haute performance et entraîneur national de paranatation à Natation Canada. « Ces championnats représentent la première fois que le monde entier s’affronte depuis Rio 2016 et offrent une occasion incroyable, moins de 350 jours avant le début des Jeux de Tokyo, de nager contre des athlètes de niveau international et de profiter de l’excitation d’un environnement de compétition. »

 

Avant d’arriver à Londres jeudi, la délégation canadienne s’est entraînée pendant une semaine à Vichy, en France. Lomas est ravi de ce qu’il a vu dans la ville historique.

 

« Depuis très longtemps, la ville de Vichy aide fièrement les équipes de natation d’élite à se préparer pour les grands événements internationaux. La communauté, ses installations et le climat ont tous aidé notre équipe à connaître un camp fantastique.»

 

« Les nageurs qui connaissent du succès sur la scène internationale savent comment performer quand cela compte vraiment, pas seulement quand cela convient, et la performance de chaque membre de notre équipe depuis le début de la semaine est très encourageante, c’est agréable de voir leur dévouement envers la préparation et le processus. Ce sont ces attributs qui leur serviront dans la poursuite de leur parcours international. »

 

Lomas s’est dit particulièrement enthousiasmé par l’un des aspects de ce camp d’entraînement couronné de succès.

 

« En plus du plaisir de voir nos nageurs expérimentés et nos nouveaux venus échanger et se renforcer mutuellement, Vichy nous a également donné la possibilité de pratiquer les échanges de nos relais sous la direction de l’entraîneur Mike Thompson et du Dr Allan Wrigley, directeur de l’équipe de soutien intégré de Natation Canada et biomécanicien. La possibilité de pratiquer les échanges et de créer une culture de relais est très importante alors que nous continuons à développer notre programme. »

 

Parmi ces nageurs expérimentés qui porteront le maillot unifolié cette semaine au London Aquatics Centre, on retrouve le paralympien Nicolas-Guy Turbide, de Québec, et la détentrice de records du monde Shelby Newkirk, de Saskatoon, nommés paranageur et paranageuse de l’année de Natation Canada en 2018.

 

Et bien sûr le quatuor composé de Morgan Bird, de Calgary, Camille Bérubé, de Gatineau, au Québec, Katarina Roxon, de Kippens, à Terre-Neuve, et Aurélie Rivard, de Saint-Jean-sur-Richelieu, au Québec, qui effectuent toutes un retour à l’endroit où elles furent en quête de gloire paralympique en 2012.

 

Ces vétérans sont accompagnés par de nouveaux venus talentueux tels que la Torontoise Aly Van Wyck Smart et Nikita Ens, de Meadow Lake, en Saskatchewan, qui représentent toutes deux le Canada pour la première fois.

 

Bien que de nombreux membres de l’équipe aient remporté des médailles et établi des records lors de grandes compétitions internationales dans le passé, notamment aux Jeux paralympiques, Lomas insiste sur le fait que le succès à Londres ne sera pas jugé uniquement par le nombre de places sur podium obtenues par le Canada.

 

« Pour nous, le succès sera calculé par notre capacité à rester calme, à rester professionnel, à se concentrer sur le processus et à enregistrer des records personnels lors de la journée qui compte le plus.»

 

« Pour ce qui est de notre objectif ultime, nous mettons l’accent sur le fait d’être meilleur à ces championnats que lors des Essais canadiens en avril. Les médailles sont une récompense pour avoir exécuté le processus, avoir mis l’accent sur l’amélioration, et un peu de chance en cours de route. Nous ne pouvons pas contrôler les personnes ou les situations qui nous entourent, mais nous pouvons nous concentrer sur nous-mêmes, nos processus, notre professionnalisme et notre préparation. »

 

Le personnel d’entraîneurs canadien à Londres est dirigé par Vince Mikuska, entraîneur sénior du programme paralympique de Natation Canada.

 

« Nos entraîneurs, tant ici que chez nous, sont les principaux moteurs de notre programme. C’est le dévouement et le professionnalisme des entraîneurs qui, combinés à un athlète talentueux, ambitieux et dévoué, aident à réaliser des choses vraiment remarquables », dit Lomas.

 

Nathan White

Senior manager, Communications, Swimming Canada

Gestionnaire supérieur des communications, Natation Canada