Officiel(le)s, bénévoles, porteuses et porteurs de panier recherché(e)s pour les essais olympiques et paralympiques 2024 à Montréal

Officiel(le)s, bénévoles, porteuses et porteurs de panier recherché(e)s pour les essais
olympiques et paralympiques 2024 à Montréal 

Les essais olympiques et paralympiques 2024 présentés par Bell auront lieu du 13 au 19 mai 2024 à la piscine du Centre sportif du Parc olympique de Montréal.

Un événement de cette envergure nécessite une grande équipe. Remplissez le ou les formulaires pour en faire partie et collaborez au succès d’une belle compétition pour nos athlètes canadien(ne)s !

Plusieurs postes d’officiel(le)s et de bénévoles sont disponibles pour les sessions des préliminaires et des finales.

– Formulaire des officiel(le)s

– Formulaire des bénévoles

Porteuses et porteurs de paniers

Les porteuses et porteurs de paniers seront aux premières loges des compétitions. Offrez à vos jeunes nageuses et nageurs de 8 à 15 ans l’occasion d’être au coeur de l’action. Nous aurons besoin d’une vingtaine de jeunes pour chacune des journées de compétition. Pour inscrire votre club veuillez cliquer sur ce lien.

Natation Canada choisit le Québec pour accueillir des événements de haute performance

Natation Canada choisit le Québec pour accueillir des événements de haute performance

La Fédération de natation du Québec (FNQ) est fière d’annoncer que le Québec a été sélectionné afin d’être l’hôte de plusieurs compétitions nationales d’importance.

Source de motivation et d’inspiration pour notre communauté

Nicolas Zazzeri, directeur technique à la FNQ « souhaite que ces événements soient des occasions de développement pour les athlètes, entraineurs et officiels québécois, en leur offrant des compétitions de haut niveau chez eux, devant les leurs. Il était très important dans notre stratégie de développement que nous puissions accueillir des événements de haute performance, nous espérons qu’ils seront une source de motivation pour nos athlètes d’excellence, et une source d’inspiration pour la relève. »

Au cours des prochaines années, le Québec vibrera au rythme des vagues aquatiques avec les compétitions suivantes :

  • Essais canadiens de natation – du 5 au 9 juillet 2026 – Centre sportif du Parc olympique de Montréal;

  • Championnats canadiens de natation Speedo – du 7 au 10 août 2025 et du 1er au 3 août 2028 – Centre sportif de l’Université Sherbrooke;

  • Festival d’eau libre – les 12 et 13 août 2025 et les 8 et 9 août 2028 – Bassin olympique du Parc Jean-Drapeau de Montréal;

  • Invitation international Ken Demchuk – Novembre 2026, 2027, 2028 – Complexe aquatique de Laval.

Excellence et innovation au sommet de la vague

Pour Francis Ménard, directeur général à la FNQ : « nous aspirons à tirer profit du succès des Essais olympiques 2024 pour augmenter considérablement le nombre de compétitions nationales organisées sur le territoire québécois. Nous visons à élever encore davantage le standard de ces compétitions au Québec ». Il poursuit en précisant que « cet objectif s’inscrit dans une vision plus vaste. Notre engagement envers l’amélioration continue va au-delà des compétitions sportives; il englobe une culture d’innovation et de redéfinition constante. L’accueil d’événements nationaux d’envergures constitue un moyen d’atteindre nos objectifs stratégiques. »

Des partenaires et des collaborateurs passionnés pour des événements mémorables

En ce qui concerne les Championnats Canadiens de Natation Speedo, la FNQ est ravie que le Club de natation Sherbrooke ait généreusement accepté d’organiser ce nouvel événement estival en bassin de 25 mètres. Cette collaboration témoigne de l’engagement et de la détermination du Club envers le développement de la natation au Québec et au Canada. Nous sommes convaincus que l’expertise et la passion du Club de natation Sherbrooke contribueront grandement à faire de ces championnats un succès mémorable.

La FNQ est également heureuse de s’associer avec Productions Podium pour l’organisation du Festival d’eau libre. Jo-Annie Charbonneau, cheffe, Sport et développement chez Productions Podium affirme « Nous avons développé une expertise en gestion d’événements et de festivals sportifs avec le Triathlon Mondial Coupe Copley, le Festival DISTRIX (basketball et arts) et le Festival SMASH (volleyball). Notre motivation première est d’offrir des événements de qualité aux participants et au public. Nous sommes convaincus que ce Festival constituera une expérience exceptionnelle pour les participants et amateurs de natation ».

À Laval, l’Invitation international Ken Demchuk marquera une première pour Natation Canada et la FNQ au tout nouveau Complexe aquatique de Laval, avec une attention particulière portée à un événement signature dédié aux paranageuses et paranageurs.

Il est impossible de passer sous silence le travail acharné des comités organisateurs, qui se sont mobilisés avec détermination pour élaborer les dossiers de mise en candidature avec la FNQ. Leur contribution exceptionnelle démontre le professionnalisme et l’engagement des meilleurs officiels et organisateurs et des meilleures officielles et organisatrices du Québec.

La FNQ souhaite remercier Aurélie Rivard, médaillée paralympique à maintes reprises et Xavier Desharnais, double vainqueur de la Traversée internationale du Lac Saint-Jean. Leur dévouement considérable dans le processus de candidature pour l’Invitation internationale Ken Demchuk et le Festival d’eau libre ont grandement contribué à renforcer notre dossier.

Une Fédération qui s’engage pleinement

Selon Francis Ménard : « Nous sommes convaincus que ces événements contribueront à promouvoir la natation au Québec et à renforcer notre communauté. La FNQ s’engage pleinement à faire de ces compétitions un succès retentissant et à offrir une expérience exceptionnelle à tous les participants et participantes. Ensemble, écrivons une nouvelle page de triomphes aquatiques au Québec ! »

Former pour mieux performer

Former pour mieux performer


 

Originaire d’Afrique de l’Ouest, l’entraineur et ancien nageur Ousseynou Mbaye a su transformer son destin et celui du Club de natation régional de Beauce. Portrait d’un homme qui se donne corps et âme pour le bien-être des athlètes.

C’est par un jour du mois d’août 2015 qu’Ousseynou Mbaye a mis les pieds pour la première fois au Québec. Originaire du Sénégal, en Afrique de l’Ouest, il a choisi de s’installer dans la région de la Chaudière-Appalaches, plus précisément en Beauce. Pourquoi? Simplement parce qu’il avait déjà des connaissances qui y résidaient. Et en tant que nouvel immigrant, c’est plus simple d’arriver dans un nouveau pays lorsqu’on a quelques points de repère. Ce choix à l’aveugle s’est avéré être une excellente décision, car Ousseynou se nourrit aujourd’hui de son rôle au sein du club et de sa région adoptive.

Mais ce parcours ne fut pas de tout repos. « Ça s’est difficilement passé », exprime-t-il en faisant référence à son intégration. D’abord pour la complexité du processus d’immigration, mais aussi pour des raisons sociales. « Les gens étaient sympathiques, mais ils avaient de la misère avec le fait que je venais de l’extérieur », explique-t-il.

Faire son chemin

Pour l’aider à s’intégrer avant son arrivée, une connaissance lui parle d’un poste vacant au sein du Club de natation régional de Beauce; celui d’entraineur. Comme il n’avait pas encore de travail au Québec et qu’il possédait un bon bagage de connaissances et un bon leadership, il a obtenu le poste après avoir passé une entrevue.

Mais quelques obstacles allaient toutefois le tester, une fois arrivé au sein du Club de natation. « Ça a été difficile de faire ma place. […] Certains parents me disaient : ‘‘On ne te connait pas, pourquoi on te laisserait avec nos enfants?’’ », explique-t-il.

Il faut aussi dire que Ousseynou détonnait parmi une communauté entièrement blanche. « C’est une perpétuelle bataille », constate-t-il. Comment a-t-il donc fait pour finir par se faire respecter?

C’est au fil du temps que l’entraineur a su créer des liens forts avec les athlètes et leurs parents. Ousseynou raconte que c’est en gardant le « focus sur les nageurs » pour s’assurer qu’ils performent bien. Il ajoute que le fait d’être présent et de prendre son travail au sérieux l’a aidé. Même si c’est de cette façon qu’il a fini par se faire accepter, cette excellente éthique de travail est innée pour lui. « Je n’avais rien à prouver », ajoute-t-il avec gentillesse.

Miser sur la relève

Aujourd’hui, près de neuf ans plus tard, il fait toujours partie du Club de natation régional de Beauce, même si son rôle a évolué. Il est maintenant entraineur-chef (même s’il n’aime pas cette appellation) à temps partiel, car il occupe un emploi à temps plein comme programmeur informatique.

Aussi papa de trois enfants, son emploi du temps est bien rempli, si bien qu’il a dû déléguer ses tâches à d’autres. « Je n’aurais pas pu faire ça tout seul, sinon ça couperait toutes mes soirées et je dois être à la maison pour voir mes enfants », explique-t-il.

Il a ainsi eu une idée ingénieuse : former les jeunes âgés de 15 et 17 ans à devenir coachs.

Cette innovation a permis au club de se développer davantage et lui a permis d’accomplir adéquatement son rôle de père, en plus de transmettre ses nombreuses connaissances et de préparer ces jeunes au monde du travail. Après tout, l’entraineur âgé de 41 ans nage depuis qu’il a environ 11 ans. C’est donc toute une vie de connaissances qu’il transmet avec passion aux nouveaux entraineurs.

En s’adaptant aux horaires des jeunes, il réussit à les former petit à petit. Actuellement, son équipe d’entraineurs adjoints est composée de 12 athlètes.

Un coffre à outils pour les athlètes

Selon l’entraineur, cette formation aidera les jeunes athlètes à mieux faire leur transition dans la vraie vie. « Demain, ils vont peut-être devoir gérer le stress, gérer des personnes. […] Pour moi, c’est un transfert entre le bord du bassin et la vraie vie », explique-t-il. En choisissant de transmettre ses acquis, l’entraineur offre d’une certaine manière un coffre à outils qui leur sera sans doute très utile plus tard.

« Je suis fier de ce que j’accomplis, fier d’eux aussi ». L’entraineur tient toutefois à mentionner qu’il est reconnaissant du soutien de sa femme Sarah, sans qui tout cela ne serait pas possible. « [Elle] me motive à rester comme entraineur en s’occupant des enfants les soirs, surtout lors des week-ends de compétition », ajoute-t-il.

Outre les jeunes entraineurs formés par Ousseynou, plusieurs choses ont changé au sein du club. D’abord au point de vue du conseil d’administration, composé de « personnes super bienveillantes » qui ont travaillé ensemble pour améliorer le club.

Depuis septembre 2023, les 80 athlètes qui composent le club ont maintenant accès à une piscine de 25 mètres avec 10 corridors. Auparavant, les entrainements se déroulaient dans une piscine de 20 mètres seulement, avec quatre corridors. C’est donc un bel ajout pour les nageuses et nageurs. Mais pour Ousseynou, ce n’était pas normal qu’une ville comme Saint-Georges n’ait pas de bassin adéquat. « Chaque ville devrait avoir une piscine », affirme-t-il d’emblée.

Avec sa grande implication, Ousseynou souhaite laisser un bel héritage au sein du club et marquer l’histoire de ce dernier à sa manière. On peut dire que c’est déjà une mission accomplie!

Rédaction : Anne-Sophie Maltais

Éli Pelletier : un modèle à suivre

Il y a de ces gens que l’on rencontre et qui nous marquent instantanément. Le nageur Éli Pelletier, du haut de ses 15 ans, est l’un d’eux. Au-delà de ses performances remarquables, il possède en lui une grande force et une résilience admirable, qui lui ont été transmises à la suite d’une épreuve qu’aucun enfant ne devrait vivre. Portrait d’une histoire touchante.

Éli Pelletier évolue aujourd’hui au sein de la catégorie des 15-17 ans du club de natation les Barracudas de Gaspé. Il en fait partie depuis qu’il a environ cinq ans. Mais son lien avec la natation remonte à il y a longtemps, même bien avant qu’il ne soit né.

Ses parents ont tous deux été des nageurs, puis des entraineur(e)s. Alors qu’ils étaient très petits, Éli et son frère ainé Noah ont ainsi été initiés au monde de la natation par leurs parents. Il faut dire qu’il était beaucoup plus simple pour les « parents-entraineur(e)s » (et plus amusant pour les enfants) d’amener leurs progénitures avec eux sur le bord de la piscine plutôt que de trouver une gardienne! Et oui, la natation chez les Pelletier, c’est une histoire de famille!

Une onde de choc pour la communauté

C’est en 2014, alors qu’Éli n’avait que six ans, que la famille est secouée par une nouvelle dévastatrice :  le décès d’Éros Pelletier, le papa d’Éli.

Après ce départ prématuré, la famille et les proches de M. Pelletier ont été bien évidemment ébranlés. Mais cette perte immense s’est aussi fait ressentir auprès des membres, parents et athlètes du Club de natation Les Barracudas, où Éros Pelletier œuvrait à titre d’entraineur-chef.

Âgé de seulement six ans lors du décès de son père, Éli Pelletier ne conserve que très peu de souvenirs de lui. Mais, sans le savoir, il lui rend hommage au quotidien. Et c’est ce qui fait la beauté de son histoire.

Au fil du temps, Éli développe les mêmes qualités que son paternel. Sa mère, Danic Joncas en sait quelque chose. « Il ressemble de plus en plus à son père. Il a du charisme, il est assez réservé. Les jeunes vont être facilement attirés vers lui, confie-t-elle. De plus, comme son père, Éli est très travaillant.

Une organisation hors pair

Parlant de travail, le jeune athlète de 15 ans met beaucoup d’heures et de sérieux dans ses entrainements. Tout athlète qui a du succès est soumis à une discipline stricte, et Éli ne fait pas exception à la règle. En une semaine, le nageur a huit entrainements au programme : six en piscine et deux en salle auxquels s’ajoutent de nombreuses compétitions nécessaires à son bon développement. Habitant Gaspé, la moindre recherche de compétitivité l’incite à faire des heures de route, ajoutant un défi supplémentaire à son quotidien. Mais à travers son horaire chargé de nageur et d’étudiant de quatrième secondaire, Éli trouve tout de même du temps pour voir ses amis et faire des sorties. « Il se donne à fond et c’est beau de le voir aller », ajoute avec fierté sa maman.

Une étoile qui n’a pas fini de briller

Et il faut dire que tous les efforts fournis par l’athlète sont récompensés. Il a notamment pris part pour une première fois aux championnats canadiens, à l’été 2023, d’où il est revenu avec une 16ᵉ place au 100 mètres libre et une 17ᵉ place au 50 mètres libre.

Au mois de novembre dernier, Éli Pelletier a aussi participé à la première édition du camp Prospect, un camp de préparation pour les prochains Jeux du Canada, qui auront lieu en 2025. Cette nouvelle initiative, organisée par la FNQ, a regroupé 67 nageuses et nageurs. Le camp Prospect est une occasion pour les athlètes de participer à des entrainements de groupe, mais aussi d’assister à des conférences.

Transmettre sa passion

Depuis quelques mois, le jeune nageur suit également les traces de son père et de sa mère en transmettant son amour pour le sport, la discipline et la natation aux plus jeunes. « J’aide à coacher les jeunes de six à neuf ans », exprime-t-il.

Et pas besoin de vous dire que les jeunes du club ont beaucoup d’admiration pour le nageur de 15 ans. À Gaspé, Éli est un modèle inspirant pour plusieurs. Lorsqu’il revient d’une grosse compétition, il lui arrive même d’être interpellé, puis félicité, dans des endroits publics. Des parents et des personnes âgées viennent le voir. Sans doute ressentent-ils une grande fierté de voir qu’un jeune athlète de la région se démarque sur le plan provincial et national. Et avec raison!

Les enjeux du sport en région

Résidant à Gaspé, une ville d’environ 15 000 habitants, les ressources sont évidemment plus limitées que dans les grands centres. Même si ça ne l’empêche pas de performer, il aimerait bien avoir accès au programme sport-études. « C’est ça qui est le plus dur (de ne pas avoir de sport-études). […] On n’a pas de programme adapté pour faire beaucoup d’entrainements », déplore-t-il. Mais comme il le dit avec beaucoup de bienveillance : « Ça ne m’empêche pas de gagner des médailles ».

Pour les jeunes et moins jeunes, Éli est un excellent exemple à suivre. Il inspire à foncer dans la vie, ne pas s’arrêter aux difficultés de la vie et à donner son maximum. Son message d’encouragement pour les autres athlètes ou pour les jeunes qui vivent des difficultés. «  Une journée à s’attarder à ses problèmes est une journée de perdue à s’améliorer. » Bravo Éli!

Rédaction : Anne-Sophie Maltais

Jérémie Hamel des Barracudas de Gaspé sélectionné pour le Programme d’accompagnement annuel des entraineur(e)s

Jérémie Hamel des Barracudas de Gaspé sélectionné pour le Programme d’accompagnement annuel des entraineur(e)s

Le programme d’accompagnement annuel offre la possibilité à une ou un entraineur(e) d’être soutenu(e) durant une saison complète. L’entraineur(e) sélectionné(e) doit démontrer qu’il est inscrit dans une démarche de réflexion et de développement personnel.

Jérémie a démontré dans ses dernières formations et dans sa candidature qu’il est un entraineur motivé qui a envie de faire progresser sa carrière. Malgré le fait qu’il en soit à sa première année comme entraineur-chef des Barracudas de Gaspé, il n’en n’est pas à ses premières expériences de coaching. Dans les dernières années de sa vie d’athlète, il a amorcé sa carrière d’entraineur auprès des jeunes novices de son club. Après une pause consacrée à ses études, il est retourné au bord du bassin en 2019 avec les plus jeunes nageuses et nageurs.

« Je suis extrêmement fier d’avoir été sélectionné pour le programme de mentorat et très touché par la reconnaissance du potentiel de notre équipe par la Fédération.  Je crois que ce soutien m’aidera à améliorer mes capacités d’entraîneur, assurera le développement des Barracudas de Gaspé tout en ayant un impact positif pour la communauté de natation locale. » nous a indiqué Jérémie lorsque nous lui avons annoncé qu’il avait été sélectionné pour le programme d’accompagnement. « J’ai encore beaucoup à apprendre sur le développement physique et mental des athlètes, le côté organisationnel d’un club et j’ai hâte de discuter avec une sommité dans le domaine. » a-t-il poursuivi.

Impact de Pierre Lamy comme mentor

La réputation de Pierre au sein de sa communauté n’est plus à faire. Malgré son expérience à l’échelle internationale, il a choisi d’être un entraineur pour les nageuses et nageurs de 12 ans et moins avec le club de CNQ. M. Lamy continue de jouer un rôle crucial en tant que personne-ressource et évaluateur pour le Programme national de certification des entraineurs (PNCE) et démontre encore un réel intérêt pour le développement de futur(e)s entraineur(e)s de la relève.

Jérémie est très enthousiaste de débuter ce partenariat : « Je suis confiant que son expérience me permettra d’aider les nageur(euse)s de notre petit club à réaliser leur plein potentiel, continuer de briller sur la scène provinciale et, qui sait, viser la scène nationale. »

Les activités de mentorat prendront la forme de visites sur le terrain de l’entraineur et de vidéo-conférences régulières.

Bonne saison!

Athlète inspirante All Tides du mois de novembre 2023

De Santiago à Paris : Mary-Sophie Harvey, nageuse en quête de la gloire

Mary-Sophie Harvey a écrit un nouveau chapitre dans le livre des exploits aquatiques aux Jeux panaméricains de Santiago. Son séjour au Chili lui a permis de prendre part à onze courses réparties en trois épreuves individuelles et cinq relais où elle a amassé sept médailles.

Le palmarès de Mary-Sophie comporte une médaille d’or au 200 m libre, au 4×100 m libre et au 4×100 m quatre nages, l’argent au 200 m quatre nages et au 4×100 m quatre nages mixte et le bronze au 4×200 m libre et au 4×100 m libre mixte. Ces exploits remarquables lui ont valu le titre bien mérité d’Athlète inspirante All Tides du mois de novembre 2023.

Crédit photo : Candice Ward/COC
Crédit photo : Candice Ward, COC

Malgré toutes ces retentissantes victoires, Mary-Sophie éprouve des regrets ne pas avoir fracassé le record de huit médailles, à seulement 14 centièmes de seconde du bronze au 100 m libre. Les jours ont passé et elle est maintenant tourné vers l’avant, vers l’objectif ultime de tout athlète : les Jeux olympiques.

« Je suis vraiment contente de ce que j’ai accompli, mais je ne veux pas perdre de vue mon gros objectif », soutient la Trifluvienne qui a pu célébrer avec ses proches une fois de retour à la maison.

Participer à toutes les épreuves : une athlète pleine d’ambition

Harvey est arrivée en territoire inconnu avec un horaire de course très imposant. Elle n’avait pas d’objectif de médailles en tête, sauf qu’elle savait que ses chances étaient bonnes au 200 m quatre nages, ainsi qu’aux relais. Ce qu’elle voulait avant tout, c’était de revivre cette fébrilité de participer à un maximum d’épreuves.

« Dans ma carrière, j’ai été chanceuse de faire plusieurs épreuves et j’ai toujours aimé avoir une plus lourde charge de courses pour tester mes limites. Quand j’étais plus jeune, il y avait toujours une compétition dans l’année où je faisais toutes les épreuves de la compétition. Grâce aux Championnats du monde de juillet dernier et aux Jeux panaméricains qui viennent tout juste de se terminer, c’est la première fois sur la scène internationale où je pouvais montrer ce que je peux faire dans plusieurs épreuves. Je suis vraiment contente de cette progression ! »

C’est un événement survenu quelques mois plus tôt qui lui a ouvert les portes sur un plus grand nombre d’épreuves. Aux sélections des Championnats du monde, elle avait raté sa sortie à son épreuve fétiche, le 200 m quatre nages. L’athlète a insisté auprès de son entraîneur Greg Arkhurst pour s’élancer au 100 m libre du lendemain, où elle a finalement obtenu le meilleur temps des préliminaires, même si elle ne s’était pas entraînée spécifiquement pour cette distance.

Du jour en lendemain, celle qui avait l’habitude de nager seulement le 4×200 m libre est devenue une spécialiste des relais canadiens de 100 m libre. À seulement 24 ans, l’athlète démontre une marge de progression prometteuse, affinant rapidement sa stratégie de course tout en se rapprochant de sa pleine maturité physique, forgées par des entraînements intensifs en musculation.

« Ç’a été une surprise et depuis ce temps-là, le déclic s’est fait. C’est excitant parce qu’à chaque fois que je nage cette distance, j’apprends quelque chose de nouveau. Et c’est cette épreuve-là qui m’a permis de faire cinq relais aux Jeux panaméricains. J’espère que ça va m’ouvrir d’autres portes pour les Jeux (olympiques). […] J’ai vraiment du plaisir à apprendre », note la Québécoise.

Aux Jeux olympiques de Tokyo, Mary-Sophie Harvey n’avait nagé que dans la ronde préliminaire du relais 4×200 m. Si elle obtient son deuxième billet olympique, elle souhaite avoir un horaire aussi rempli dans la capitale française que celui qu’elle avait aux Jeux panaméricains.

« Ce que j’ai retiré des Jeux de 2021, c’est que je me suis fait la promesse que lorsque je me reclasserais, je ne ferais pas juste un relais. Depuis ce temps, je me suis prouvée, ainsi qu’aux entraîneur(e)s de l’équipe nationale, que je pouvais prendre cette charge et mériter ma place dans les relais. C’était important de créer une petite confiance entre l’athlète et les entraîneur(e)s pour qu’une fois rendus aux Jeux, il n’y ait pas de doutes et qu’ils sachent ce que je peux faire et ce que je peux apporter à l’équipe. »

L’heure des choix

La saison 2023-2024 sera pour le moins atypique pour l’élite de la natation canadienne : Jeux panaméricains en octobre, Championnats du monde des sports aquatiques en février et Sélections olympiques canadiennes au mois de mai avant le grand rendez-vous parisien de l’été prochain.

« C’est ça qui sera difficile pour les athlètes cette année. Il y a beaucoup d’occasions de participer à de grosses compétitions, mais elles peuvent aussi potentiellement nuire à l’objectif principal pour certains. Et c’est pour cette raison que j’ai décidé de ne pas aller aux Championnats du monde. Mon objectif principal, ce sont les Jeux olympiques et c’est là que je veux performer », explique-t-elle.

Au-delà de l’exécution de la course, il y a la manière d’y prendre part. Lors de sa dernière épreuve aux Jeux panaméricains, le 4×100 m quatre nages, en tant que dernière relayeuse de l’équipe, la Québécoise dominait la course. Elle a manifesté une assurance indéniable en permettant à son adversaire de réduire l’écart avant d’accélérer de manière décisive lors des derniers 50 mètres, scellant ainsi la victoire canadienne.

« Il faut être confiante dans nos capacités et le travail que l’on fait tous les jours. C’est quelque chose que j’ai beaucoup travaillé : garder cette confiance-là, peu importe le niveau de la compétition. Les comebacks, c’est une de mes forces. »

Mary-Sophie Harvey, qui a été sélectionnée pour la première fois de sa carrière pour faire partie de l’équipe du Québec, sera de retour sur la scène internationale lors du US Open qui aura lieu à Greensboro en Caroline du Nord du 29 novembre au 2 décembre.

Rédaction : Sportcom pour la Fédération de natation du Québec

Personnalité inspirante All tides du mois de novembre 2023

Festival par équipes : l’Abitibi-Témiscamingue EN ressort grande gagnante

L’automne a été particulièrement chargé pour la communauté de natation dans la région de l’Abitibi-Témiscamingue. L’octroi et l’organisation du Festival par équipes à Rouyn-Noranda ont certainement été des moments clés des derniers mois et le comité organisateur qui a préparé l’événement a voulu laisser des souvenirs importants dans la mémoire de tou(te)s les participant(e)s.

Pour leur travail acharné au cours des dernières semaines, la FNQ nomme la région de l’Abitibi-Témiscamingue à titre de personnalité inspirante All Tides du mois de novembre 2023.

« En toute honnêteté, on était loin d’être certains que la demande pour organiser l’événement soit acceptée. Notre bassin est très vieux ici, à Rouyn-Noranda, ce qui rendait l’installation de certaines structures impossible. Ç’a été une belle surprise et nous étions extrêmement heureux », a lancé d’entrée de jeu Louis-Paul Willis, président du Club de natation les Dauphins de Rouyn-Noranda.

Le travail fait en amont a payé puisque le Festival par équipes a été un véritable succès sur toute la ligne. Des athlètes de Montréal, des Laurentides et de Mont-Laurier, entre autres, ont fait le voyage jusqu’à Rouyn-Noranda du 27 au 29 octobre pour l’occasion. Toutes et tous ont pris la route du retour avec un énorme sourire aux lèvres.

« La compétition s’est vraiment très bien déroulée. Je pense que si c’était à refaire, on referait tout exactement de la même façon. Tous les retours reçus étaient positifs, ç’a été un très bon coup de la part de toute notre équipe », a mentionné Louis-Paul Willis, lui-même un ancien nageur.

Ce qui a également fait la force de l’événement, ce sont les nombreuses activités qui étaient offertes aux participant(e)s en parallèle de la compétition. Au programme : partenariat avec un traiteur pour les repas, soirée karaoké et projection de courts métrages.

« Ce n’est pas seulement le monde de la natation qui s’est mobilisé, c’est Rouyn-Noranda en entier qui a fait de cette fin de semaine, un succès. Le Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue se déroulait en même temps que notre festival et on a pu offrir des activités en collaboration avec eux. Et la cerise sur le sundae, la soirée karaoké qui a fait le plaisir de plusieurs. »

Comme l’a remarqué Marie-Christine Potvin, conseillère – programme et compétition à la Fédération de natation du Québec, l’ambiance de travail est extrêmement plaisante en Abitibi-Témiscamingue et l’engagement de toute la région mérite d’être souligné.

« Déjà, lors de notre passage dans le cadre de la Tournée, on sentait une énergie mobilisatrice et un esprit de communauté très fort. Stéfanie Gagné (coordonnatrice senior – service aux membres) et moi sommes ravies de voir qu’ils ont vraiment embarqué dans l’aventure et qu’ils ont voulu tout mettre en place pour assurer la réussite de cet événement, mais aussi pour les événements futurs. La collaboration développée avec la région de l’Abitibi-Témiscamingue servira assurément de modèle pour tous les autres projets de développement régional à venir », a-t-elle indiqué.

L’organisation du Festival par équipes a également été l’occasion parfaite pour la formation d’officiel(le)s en Abitibi-Témiscamingue. Ce sont huit nouveaux et nouvelles juges-arbitres qui ont pu suivre une formation du 27 au 29 octobre.

« On a profité de la compétition pour faire avancer huit officiel(le)s de la région qui avaient les qualifications nécessaires pour devenir juges-arbitres. Des représentant(e)s de la FNQ sont venu(e)s nous donner un coup de main pour compléter leur stage. C’est génial pour la région parce que nous avons maintenant accès à de nouveaux et nouvelles juges-arbitres qui pourront nous aider dans l’organisation de toutes nos compétitions », s’est réjoui Louis-Paul Willis.

Pour couronner un automne extrêmement chargé pour la région, Kimberley Campbell, entraineure-chef au Club de natation les Dauphins de Rouyn-Noranda, a également complété sa certification PNCE de niveau 3 au cours des dernières semaines.

« C’est une excellente nouvelle ! Ça va lui permettre d’offrir des formations, ce qu’elle a déjà amorcé le 21 novembre dernier en offrant la formation de sport communautaire à nos nageurs et nageuses au club. Il y a de plus en plus de personnel formé dans la région et ça ne peut apporter que du positif », a conclu Louis-Paul Willis.

Rédaction : Sportcom pour la Fédération de natation du Québec

Bravo aux athlètes québécois(es) de la FNQ qui ont brillé aux Jeux parapanaméricains de Santiago.

Bravo aux athlètes québécois(es) de la FNQ qui ont brillé aux Jeux parapanaméricains de Santiago

Peu de temps après le passage marqué des athlètes québécois(e)s aux Jeux panaméricains 2023, c’était au tour des paranageurs et des paranageuses de représenter le Canada au complexe aquatique de Santiago dans le cadre des Jeux parapanaméricains.

Les performances de Justine Morrier (VELOX) n’ont pas laissé l’équipe canadienne indifférente pendant l’événement qui regroupait certains des meilleur(e)s athlètes des pays des Amériques du 17 au 26 novembre.

Vendredi dernier, Justine Morrier a obtenu son meilleur résultat de la compétition à sa toute dernière course de l’événement. Son temps de 1 min 13,44 s au 100 m papillon S14 lui a permis de repartir avec une médaille de bronze au cou.

« C’était formidable, beaucoup d’émotions et c’était très excitant de conclure la compétition de cette façon ! Je voulais vraiment finir en beauté », a mentionné Morrier à Sportcom.

Plus tôt dans la compétition, la nageuse de Saint-Jean-sur-Richelieu avait ouvert le bal en participant, dimanche dernier, à la finale du 100 m dos S14 où elle a bouclé le top-5.

Le lendemain, c’est par deux centièmes de seconde que Morrier a manqué la troisième marche du podium lors de la finale du 100 m brasse SB14. « J’étais un peu nerveuse et c’était une finale directe. Ça arrive très rarement ! » a mentionné la paranageuse.

Morrier a ajouté un autre top-5 à sa fiche mercredi en terminant la finale du 200 m quatre nages SM14 en cinquième place.

Sa coéquipière Alisson Gobeil (Juvaqua Alma) a aussi offert d’excellentes performances en terminant, entre autres, au cinquième échelon à la finale du 200 m quatre nages SM5.

L’athlète d’Alma s’est aussi classée au huitième rang dans la finale du 50 m dos S5. En compagnie de Myriam Soliman, Fernando Lu et Jagdev Gill, Gobeil a ensuite aidé le Canada à atteindre la sixième place au relais mixte 4 x 100 m quatre nages.

La nageuse québécoise a conclu son passage aux Jeux parapanaméricains 2023 avec une sixième place au 200 m libre S5. Toujours dans le même style de nage, mais sur 100 m, son chrono de 1 min 32,66 s n’a pas été suffisant pour lui conférer une place parmi les finalistes.

Chez les hommes, Félix Cowan (CHP-Québec) s’est démarqué en prenant part à la finale du 200 m quatre nages SM9. Il a terminé huitième avec un temps de 2 min 42,57 s.

« Après avoir atteint la finale en me classant huitième des qualifications, je savais que je n’avais rien à perdre et j’ai foncé jusqu’au bout. Je suis content de ma performance. », a révélé celui qui a également terminé le 100 m dos S9 en huitième place avec un temps de 1 min 15,37 s.

L’athlète originaire de Brossard s’est aussi qualifié pour la finale du 400 m libre S9 au cours de laquelle il a touché le mur au huitième rang avec un temps de 5 min 1,08 s. C’est avec un chrono de 28,00 s au 50 m libre S9 que son séjour à Santiago s’est terminé.

Rédaction : Sportcom pour la Fédération de natation du Québec

PNCE : Informations importantes

PNCE : INFORMATIONS IMPORTANTES

Le nouveau parcours de l’entraineur des fondements de Natation Canada sera lancé en décembre 2023, avec les cours de natation 101 mis à jour disponibles à partir de mi-janvier 2024.

Ces mises à jour incluent la suppression du manuel de préparation au cours de natation 101, remplacé par un module d’apprentissage en ligne obligatoire, la mise à jour du contenu et des ressources du cours de natation 101, ainsi que des changements dans les tâches et modèles du portfolio de l’entraîneur des fondements.

Nous sommes conscients que cette mise que cette mise à jour peut soulever des questions et nous avons créé une FAQ à votre intention.

Q –J’ai commencé le manuel de préparation au cours de natation 101, mais je ne l’ai pas terminé. Que dois-je faire ?
R – Si vous êtes en train de compléter le manuel de préparation au cours de natation 101, vous devez le compléter et vous inscrire à un prochain cours de natation 101 qui a lieu avant le 30 novembre, date à laquelle le cours 101 actuel et le manuel de préparation au cours correspondant seront retirés. Vous pouvez accéder à la liste des cours à venir en vous connectant à la plateforme d’apprentissage en ligne (PAL) et en sélectionnant l’onglet cours. Après cette date, les entraineurs devront suivre le nouveau module obligatoire d’apprentissage en ligne préalable au cours natation 101. Il sera disponible à la mi-décembre 2023.
 
Q –J’ai rempli le manuel de préparation au cours de natation 101, mais je ne me suis pas inscrit à un cours de natation 101. Que dois-je faire ensuite ?
R – La prochaine étape consiste à vous inscrire à un cours de natation 101 qui a lieu avant le 30 novembre. Connectez-vous à la PAL et sélectionnez l’onglet « Cours » pour afficher la liste des cours à venir. Veuillez noter que si vous ne suivez pas le cours de natation 101 avant décembre 2023, vous devrez compléter le nouveau module d’apprentissage en ligne préalable au cours de natation 101. Pourquoi ? Grâce aux améliorations apportées au contenu du cours, ce module en ligne vous prépare mieux au cours et vous fournit du matériel et des instructions de haute qualité pour vous permettre de réussir ! Cela peut sembler beaucoup de travail, mais nous vous promettons que cela en vaut la peine !
 
 
Q –J’ai terminé le manuel de préparation au cours 101 et le cours natation 101, mais je n’ai pas encore terminé mon portfolio. Les nouvelles mises à jour du parcours me concernent-elles ?
R – Oui. Le portfolio des fondements est en train d’être mis à jour pour s’aligner sur le nouveau matériel de cours. Nous vous recommandons vivement de compléter votre portfolio de l’entraineur des fondements dès que possible, ou au plus tard le 30 novembre 2023. N’oubliez pas que vous devez soumettre votre portfolio avant cette date limite afin de vous conformer à la politique d’inscription de Natation Canada. N’oubliez pas de sauvegarder votre travail sur votre ordinateur afin de ne pas le perdre. Le portfolio de l’entraineur des fondements mis à jour sera disponible le mi-janvier 2024. À ce moment-là, vous pouvez choisir de télécharger vos tâches ou d’utiliser les modèles mis à jour.
 
 
Pour toute autre question, veuillez contacter nccp@swimming.ca.

Un stage enrichissant pour la relève en paranatation

Un stage enrichissant pour la relève en paranatation


Le 14 octobre dernier, la FNQ organisait un stage de développement En route vers la relève en paranatation.

Lors de ce stage, 16 paranageur(euse)s venant de partout au Québec étaient présent(e)s ainsi qu’une équipe de soutien formée de 9 entraineur(e)s.

Jérémy Dubois – Les Loutres
Éliane Dubois – Les Loutres
Gillian Pagé – Les Loutres
Florence Pelletier – Club de natation de Sherbrooke
Laura Paquet – Rouge & Or UL
Jack Scala-Gagnon – Club aquatique St-Michel
Élisabeth Fortin – Rouge & Or UL
Anne-Sophie Adueny – Club de natation de Sherbrooke
Eli Major – Neptune Natation
Arielle Bélanger – Rouge & Or UL
Alexie Canac-Marquis – Rouge & Or UL
Valérie Desroches – Neptune Natation
Annabelle Lepage – Rouge & Or UL
Anaïs Potvin – CNJO
Liah Lepage – Natation Gatineau
Rose Parent – CNHR

L’équipe d’entraineur(e)s :

Sophie Larose – Entraineure – Natation Gatineau
Catherine Marcotte – Entraineure et classificatrice provinciale – FNQ
Nadine Rollant – Entraineure – LLOU
Léa-Rose – Entraineure – CNHR
Laurent Désilet – Entraineur – SHER
Michel Bérubé – Entraineur – Natation Canada
Joy Fanara – Gérante d’équipe – FNQ
Mike Edey – Classificateur national – Natation Canada
Michael Richards – Entraineur – RED

Les jeunes ont pu profiter des installations de la piscine du Parc olympique. Ainsi, séances en piscine, préparation test à la classification niveau 2, conférences, et échanges inspirants avec des athlètes du centre de haute performance de Montréal ont eu lieu.

Cette journée a donc été riche en découvertes et en apprentissages, et donne un avenir prometteur à notre délégation québécoise en paranatation.

Bravo aux nageur(euse)s, aux parents accompagnateur(trice)s et aux entraineur(e)s présent(e)s!